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3 janvier 2008 4 03 /01 /janvier /2008 13:28

Hausse des taux d'intérêt, euro bien fort que jamais, prix du baril de pétrole qui a atteint  les 100 dollars depuis hier, hausse  du coût du crédit en raison des « subprimes », c’est-à-dire la crise du marché immobilier américain liée aux prêts hypothécaires: Les difficultés économiques sont bien là. La croissance va en pâtir et il serait exagérément optimiste pour le gouvernement de miser sur une réduction du déficit public et de la dette.

Au mois d’Août 2007, la dette s'établissait  à 65,9% du PIB. Sarkozy s'est engagé à la ramener à 60% du PIB en 2010 dans le scénario le plus optimiste, sinon en 2012. Mais personne n’est dupe ! Il suffit juste de se pencher un tant soit peu sur les largesses fiscales accordées aux plus aisés et  sur la faiblesse de notre balance commerciale (malgré les nouvelles techniques de vente du Président à la  Chine et  à la Lybie !!) pour se rendre compte du scénario approprié. D’ailleurs, l'OCDE prévoit plutôt un alourdissement de la dette française, à 67% du PIB d'ici fin 2009.

Le budget a été bâti sur une prévision de croissance à 2,25 %. Aujourd’hui, il est estimé à 1,9 % par l’OCDE et malgré cela, Sarkozy mise toujours sur son  paquet fiscal  et sur la monétarisation des RTT bénéficiant uniquement à quelques heureux salariés pour changer les choses ! Entre l’optimisme présidentiel et la dure réalité des règles économiques, il y a un grand fossé !

« Que la croissance soit à 1,9% ou 2,3%, au fond, cela ne change pas grand-chose car, ce que je veux, c'est 3% », disait le président avec un brin d’arrogance  en Septembre 2007.

En l’état actuel des choses, force est de reconnaître que, avec un taux de croissance faible, le paquet fiscal coûte très cher aux deniers publics  et le choc de confiance tant promis se fait toujours attendre.

Tenez !confiance, voilà un mot qu’il  faut savoir interpréter quand il est prononcé par Sarkozy et ses sbires ! Le Président de la République qui s’était fait l’ardent défenseur du pouvoir d’achat des français semble avoir oublié ses promesses. Les franchises médicales sont entrées en vigueur, le transfuge Eric Besson commence déjà à nous bassiner avec la TVA sociale afin que notre subconscient intègre cette douleur financière qui nous attend après les municipales !

Sans oublier la condamnation à mort des 35 heures annoncée par François Fillon. Celui-ci a annoncé son intention de légiférer dans le domaine de la durée du travail pour assouplir et simplifier le droit actuel. Ainsi, écrit-il, « les heures effectuées au-delà de 35 heures resteront défiscalisées et exemptées de cotisations sociales, comme les heures supplémentaires actuellement. Mais, en fonction des accords, elles ne seront plus toutes payées avec 25% de bonus ».

Ainsi, le gouvernement reviendrait sur une promesse majeure de M. Sarkozy, qui indiquait dans son projet publié avant les élections que « les heures supplémentaires seront toutes payées au moins 25% de plus que les heures normales ». Confiance, quand tu nous tiens !!!

Enfin, par un jeu de mots aussi fumant que fumeux, Sarkozy nous promet une politique de civilisation. Qu’est-ce à dire ? A mon avis, pour l’instant, rien. Comme le sociologue Edgar Morin, auteur du livre "Pour une politique de civilisation" dont la formule a été reprise lors des vœux présidentiels, il serait heureux que Sarkozy développe les axes qu’il entend donner à cette politique. Sinon, tout ça, ce sont des paroles en l’air.

Pour finir, de l’autre côté, Ségolène Royal se déclare candidate pour prendre la tête du PS à la place de son Ex. Ambition noble et respectable. Certes, quand l’on a récolté 47 % des voix au second tour des présidentielles, ça donne des ailes, du souffle et de la motivation. Mais à l’heure où l’on parle des idées, de la rénovation, de la conception d’une nouvelle dynamique socialiste, est-ce vraiment le moment pour une annonce de candidature ? Le combat pour les idées doit primer sur les ambitions personnelles. Ségolène Royal et les autres prétendants au poste de premier secrétaire, doivent au préalable présenter leurs idées-clés pour la rénovation avant d’exprimer une quelconque ambition. Le PS n’a plus le temps de patauger dans des primaires interminables.

Pendant que Sarkozy et l’UMP créent la désillusion, le parti socialiste devrait plutôt s’attacher à créer l’espoir ! Alors 2008 : espoir ou désillusion ?

 

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4 décembre 2007 2 04 /12 /décembre /2007 18:44

« Bonjour Docteur ! Je m’appelle PS et j’ai un problème de posture idéologique. C’est grave, docteur ? ».

Voilà un patient qui connaît le mal dont il souffre mais semble refuser la prophylaxie adéquate.

Aujourd’hui tout porte à croire que la droite sarkozienne incarne la réforme, le mouvement et l’action tandis que le PS semble embourbé dans un mal qui l’empêche de voir plus loin que ses rivalités intestines.

S’opposer au programme socio-économique peu ambitieux et globalement inefficient du Président Sarkozy est certes utile, mais insuffisant. Pour jouer pleinement son rôle d’opposant et d’alternative au pouvoir en place, le parti socialiste doit innover, proposer et retrouver la force des idées. En clair, le PS doit devenir une véritable force de frappe en matière de propositions et d’idées neuves s’insérant efficacement dans la mondialisation.

Mais, oui me dira-t-on que le PS travaille à sa rénovation et qu’il joue pleinement son rôle d’opposant. Soit ! Alors pourquoi est-il si inaudible, effacé que certaines personnes pronostiquent sa mort prochaine ?

La réponse est ailleurs. A côté de la panne idéologique, sévissent une crise de leadership ou d’icône charismatique, une crise d’appareil (la solitude de François hollande à Avignon pour le forum de la rénovation en dit long sur ce point) et  une crise de renouvellement.

Toutes ces crises qui empêchent le PS de retrouver le chemin d’une doctrine sincère, forte et convaincante sont aussi le masque d’ambitions et de rivalités personnelles. De la désaffection  des militants (peu nombreux depuis la défaite présidentielle) à la chose socialiste, ils s’en foutent !! Chaque courant veut rénover de son côté et in fine, on tombe dans le rafistolage programmatique qui a fait le lit de la défaite d’une élection soi-disant  imperdable.

Peu importent la sympathie ou la rancune que l’on a pour François Hollande ; l’esprit collectif et la nécessité de crédibiliser le parti socialiste doivent inciter les présidentiables autoproclamés, les éléphants ou les « jeunes lions » à s’investir à fond sur le chantier de la rénovation.

En ce moment de « guerre » d’images, quel triste message envoyé par le parti socialiste à Avignon où l’on voit un premier secrétaire seul à la manœuvre de la rénovation, abandonné de tout le monde sauf quelques fidèles !

Au lieu d’écrire des livres ou des pamphlets pour se gausser des carences des uns ou de l’égo des autres, les auteurs feraient mieux de s’approprier véritablement la rénovation et proposer ou suggérer des outils nécessaires à l’essor d’une nouvelle dynamique socialiste.

Est-ce difficile de réfléchir ensemble aux thèmes proposés pour la rénovation ?

Est-ce compliqué pour les dirigeants socialistes de mettre en sourdine leur rivalité et de travailler à l’émergence d’une vision novatrice du parti socialiste ?

L’imminence des élections municipales et cantonales ne doit pas occulter la nécessité impérieuse de réajuster le logiciel socialiste.

En l’état actuel des choses, eu égard aux faibles scores des autres composantes de la gauche aux dernières élections, le parti socialiste est dans une position électorale hégémonique ; une position qui, si rien n’est fait, risque d’être bousculée par l’activisme du patron du Modem qui n’hésiterait pas à lancer une OPA sur l’aile social-démocrate du PS.

D’ailleurs, la « fameuse » proposition faite par Ségolène Royal à François Bayrou dessine déjà les contours d’une telle stratégie.

Au travail, socialistes, sinon l’histoire risque d’être tragique.

 

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27 novembre 2007 2 27 /11 /novembre /2007 13:33

Exit la rivalité entre Rama Yade et Rachida Dati, deux femmes gâtées du sarkozysme !

Concentrons-nous sur l’essentiel, c’est-à-dire la France, pays des Lumières (certes tous les philosophes des Lumières ne sont pas fréquentables), pays des Droits de l’Homme, mais aussi pays qui sait vendre des centrales nucléaires et des avions à la Lybie et à la Chine.

La Chine, Sarkozy y était. En bon VRP, le Président de la République a pu dégoter 20 milliards d’euros de contrats. Les industriels exultent, tout le monde est content ; même si la Chine ne représente actuellement que 3% de nos échanges avec l’étranger.

Circulez, il n’y a plus rien à voir !

Mais, les Droits de l’Homme, quand est-ce qu’on en parle ?

La France, forte des valeurs qui la fondent et qui la déterminent, doit arrêter de se comporter uniquement en acteur économique quand elle commerce avec des Etats où la question des Droits de l’homme est bafouée. Elle ne peut pas, dans sa quête de compétitivité ou de croissance, négliger le rappel au respect des droits fondamentaux lorsqu’ils sont piétinés chez ses partenaires commerciaux.

Certes, le commerce international est un antidote contre la guerre, mais il ne peut servir à légitimer certaines aberrations.

Sur la question de la peine de mort, Nicolas Sarkozy a estimé que la France n'avait pas de leçon à donner à la Chine pour n'avoir aboli la peine capitale qu'en 1981. Il ajoute : « Je ne vous demande pas de l'abolir complètement, mais d'accentuer le mouvement vers une suspension de l'exécution pour une catégorie croissante de crimes ».

Cette comparaison avec la France sur la peine capitale est ubuesque car si elle y est abolie depuis 1981 (26 ans aujourd’hui quand même !!), c’est parce que les français en l’occurrence, M. Badinter, ont réalisé l’inhumanité d’un tel châtiment.

Est-ce à dire parce qu’ils sont plus d’un milliard de chinois que quelques uns  peuvent se faire exécuter facilement sans crainte de troubler l’ordre démographique mondial ?

Est-ce à dire que seules les Nations dites « civilisées » comme le rappelait Rama Yade dans son pamphlet « Noirs de France », méritent les Droits de l’homme ?

Quelque soit le pays, quelque soit le continent, Monsieur le Président, le combat contre la peine capitale doit être perpétuel. On peut vendre des avions à un partenaire commercial et le tacler fortement sur des dispositions humanitaires ! Angela Merkel ne s’était pas gênée de rappeler sérieusement aux autorités chinoises le respect des droits fondamentaux alors que son pays a plus de part de marché en Chine que la France !

Quand Ségolène Royal avait évoqué la "célérité" de la justice chinoise, la bien pensance l'a critiquée et exhibé sa soi-disant incompétence!Mais quand Sarkozy ménage ses hôtes chinois afin de vendre des avions, tout le monde est heureux! quel cynisme!

Par ailleurs, la recherche du point de croissance manquant au travers de la compétitivité ne saurait nous aveugler au point de sacrifier nos valeurs sur le terrain des échanges commerciaux !!

Chaque fois qu’il s’agit de donner espoir à des millions de gens dont les droits et libertés les plus élémentaires sont bafoués, la France, souvent sous les mandatures de droite, a toujours préféré l’esquive à l’action.

Que dire de Total en Birmanie ? Des petites dictatures (Tchad, Congo, Burkina Faso, Togo…) soutenues à bout de bras par l’ancien colon !!?

Désespérément, les Droits de l’homme semblent n’engager que ceux qui y croient !

Pour finir, Sarkozy a aussi réaffirmé clairement son opposition à l'indépendance de Taïwan, que la Chine considère comme une province. Mais, rappelons que le Burkina Faso, l’un des pays les pauvres du monde a reconnu Taïwan comme Etat et je ne crois pas qu’il en  subisse les conséquences.

Sur des sujets fondamentaux (non pas que l’indépendance ou non de Taïwan soit un sujet mineur, puisque les taïwanais se prononceront pas référendum) où les Droits de l’Homme sont en souffrance, il revient à la France de tenir son rang mais aussi le flambeau.

 


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18 novembre 2007 7 18 /11 /novembre /2007 20:31

L’acide désoxyribonucléique (ou ADN en abréviation) est une molécule que l'on retrouve dans toutes les cellules vivantes. L'ADN est le support de l'hérédité ou de l'information génétique, car il constitue le génome  des êtres vivants et se transmet en totalité ou en partie lors des processus de reproduction.

 Mais que vient chercher l’ADN dans la sphère politique ? Quel lien immédiat existe-il entre  l’information génétique et la politique ? Un humaniste répondra aucun !!Mais Sarkozy et Hortefeux répondront « immigration ». Oui, l’immigration est un thème qui déchaîne les passions ; un sujet extraordinaire sur lequel peuvent plancher professionnels et non-professionnels. Pas besoin d’avoir une compétence spéciale pour en parler ! Pourquoi ?parce que c’est l’immigration, c’est-à-dire l’autre ; celui qui vient soi-disant « manger le pain des français ». Qui accepterait qu’un autre vienne manger son pain sans réagir ?
 
Pour un partage « raisonnable » du pain des français, le Président Sarkozy et son ministre de l’immigration ont trouvé la parade : l’ADN, disons plutôt l’ADN mitochondrial, c’est-à-dire un ADN provenant de l’ovule de la mère et qui se transmet à la descendance.
 
Toute cette gymnastique biologique pour l’ « autre » ! Au mépris de la loi bioéthique du 06 Août 2004 qui exclut l’usage des tests ADN à des fins autres que médicales et judiciaires.
 
Quand il s’agit de l’immigration, tout est possible ; ça fait vendre  et c’est trop passionnant ! Pourquoi se priver des tests ADN, comme l’ont pensés le député Mariani et le ministre Hortefeux !
 
Mais Dieu étant aux malheureux ce qu’est le Conseil constitutionnel  à la vie législative, ce dernier a dénaturé voire vidé de sa substance l’article 13 du projet de loi Hortefeux qui permettait les tests ADN.
 

Selon le Conseil Constitutionnel « la filiation de l'enfant étranger reste soumise à la loi personnelle de la mère étrangère ».  En  d’autres termes, la preuve de la filiation d'un enfant (biologique, reconnu, adopté) se fait selon les modalités du pays maternel.

 Autre réserve: l'article 13 « ne dispense pas les autorités diplomatiques ou consulaires de vérifier au cas par cas les actes d'état-civil produits » par les demandeurs de regroupement familial. Ce travail de vérification devra précéder toute proposition de test ADN.
 
Le Conseil a voulu ainsi interdire "une application systématique du recours aux tests ADN".
 
On peut se satisfaire de la décision du Conseil Constitutionnel, mais il n’empêche que l’immixtion de l’ADN (malgré toutes les réserves du Conseil) dans la gestion de l’immigration doit nous interpeller sur sa gravité ou  sa complexité.
 

Pendant longtemps, le parti socialiste (par pudeur ou par hypocrisie) n’a proposé aucune politique sérieuse de l’immigration. Elle s’est plutôt contentée de dénoncer « assez facilement » les mesures prises par la droite.

 Certes, il peut être malaisé pour un parti à vocation humaniste comme le parti socialiste d’avoir une position tranchée sur l’immigration. Mais il n’en reste pas moins que le PS, au regard de la mondialisation et les déplacements de population qui en découlent, doit pouvoir proposer une offre politique d’immigration qui ne serait ni draconienne ni permissive mais réfléchie.
 

Le forum de la rénovation sur les socialistes et la Nation doit servir de cadre de réflexion afin de faire émerger une autre façon d’appréhender l’immigration.

 La mondialisation nous oblige de sortir du contexte de la Nation pour expliquer certains défis.
 
Exhiber ou vanter excessivement  la Nation comme l’avait fait Sarkozy lors de la campagne présidentielle relèverait plus de la  tactique que de la réflexion. Certes, toute personne vivant ou ayant vocation à vivre en France doit en connaître les valeurs, les symboles et les règles. Mais cela règle-t-il le vœu « du vivre ensemble » à la Renan ? Je crains que non car pour réaliser ce vœu du vivre-ensemble, il faudra d’abord s’attaquer aux problèmes socio-économiques de ce pays.
 

La résurgence de la Nation dans le débat politique devrait plutôt nous inciter à réfléchir sur le rôle l’Union européenne ! Certains esprits, souvent mal intentionnés, n’hésitent pas à la fustiger en cas de difficultés économiques au niveau national.

 Delphine Batho, malgré toute la sympathie que j’ai pour elle, a un peu tort quand elle estime qu’on « assiste à une disparition du cadre intermédiaire qu’est le pays ». Le pays n’a jamais disparu et ne s’est jamais fondu dans l’Union européenne. Ce sont les difficultés économiques du pays qui créent l’illusion de sa disparition et, de facto les citoyens pensent à tort que ces difficultés proviennent de l’inertie de  l’Union européenne.
 

Grâce à l’euro, on amortit le choc pétrolier ! Grâce à l’Union européenne, l’espace commercial européen a été dynamisé et a enrichi du coup les échanges intra-communautaires. Ce n’est pas rien. Ce n’est pas assez non plus.

 Ceci étant, tant que l’Union européenne n’apportera pas de réponses crédibles aux défis posés par le capitalisme financier, les délocalisations, la recherche et développement, elle sera toujours perçue comme l’élément perturbateur et favorisera sans le vouloir  (si ce n’est déjà fait) le retour à toute idéologie nationale par certains partis républicains.
 
Dans ce contexte de globalisation économique, ce serait un leurre de penser qu’une Nation comme la France, prise individuellement, peut à elle  seule régler les problèmes colossaux qui en découlent.
 

La Nation  est un cadre où se meuvent plusieurs forces capables de préparer le présent et d’assurer le futur. Mais elle a besoin d’une hyper structure comme l’Union Européenne pour pérenniser tous ses gains productifs.

 Pour terminer il convient de rappeler qu’aussi longtemps perdureraient les défis économiques inhérents à la mondialisation, l’immigration déchaînerait toujours les passions  et les nationaux pris à la gorge par le problème de chômage ou de déclassement n’hésiteraient pas à se laisser influencer par tous discours populistes et nationalistes.
 

Si j’ai mon pain quotidien, pourquoi irais-je regarder le pain mangé par l’ « autre »?

 Si j’explique aux français que l’immigration fait partie de l’ordre naturel des choses et que la France en a besoin pour parer aux problèmes démographiques, ils m’écouteraient certainement.
 

Si je dis aux français que la Nation est ce qui nous rassemble et l’union Européenne ce qui nous rend plus fort, ils m’écouteraient.

 Détrompez-vous, les français ne sont pas bêtes comme peuvent le croire certaines personnes ! Ils ont  juste besoin d’être compris et d’être éclairés.
 

 

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  • : Le blog de Hervé-Mélaine AGBESSI
  • : "L'esprit né de la vérité a plus de puissance que la force des circonstances" Albert SCHWEITZER.
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  • Hervé-Mélaine AGBESSI
  • Docteur en droit public économique, diplômé de l'université de Paris 1 (Panthéon-Sorbonne). Expert en fiscalité internationale.
  • Docteur en droit public économique, diplômé de l'université de Paris 1 (Panthéon-Sorbonne). Expert en fiscalité internationale.

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